Début des vacances
03 août 20242 minutes
Début des vacances
03 août 20242 minutes
Notre location est encore mieux que ce à quoi nous nous attendions : de belles pièces spacieuses au rez-de-chaussée, 3 chambres plus une grande salle de bain au premier et une immense chambre climatisée sous les toits. Un jardin arboré avec portique, trempoline et tables et chaises disséminées à l'ombre. La piscine est bien grande, je n'ai pas pied au bout ! Cerise sur le gâteau, un petit poulaillers où nous pouvons récupérer les œufs !
Bien que tout près d'Orange, elle est isolée dans les champs, à la nuit tombée, nous allumons une torche pour guider Marion et Xavier qui nous rejoignent avec Lana !
Le dimanche nous profitons du jardin et de la piscine tout simplement.
Les lundis, mardis et mercredis Marion et Xavier travaillent (à distance bien sûr : vive l'informatique) et Jean-Luc et moi partons explorer les environs avec Lana. Nous rentrons pour déjeuner, nous lisons ou autre pendant la sieste de Lana puis nous profitons de la piscine !
Lundi : Avignon (un peu la ville et surtout le pont)
Le pont Saint-Bénézet, couramment appelé Pont d'Avignon, est un vestige de pont sur le Rhône composé de quatre arches.
Il part du nord d'Avignon en direction du Gard mais ne permet plus de s’y rendre. Sur l'un des piliers est édifiée la chapelle Saint-Bénézet, et au-dessus d'elle, la chapelle Saint-Nicolas.
Endommagé tant par les crues que par les guerres, l'ouvrage fut reconstruit plusieurs fois, notamment entre 1234 et 12374. En 1479, à cause des inondations, deux arches furent entièrement détruites. Aussi le roi de France Louis XI ordonna-t-il sa réparation par lettres patentes royales datées du 10 octobre.
À la suite de la modification du lit du fleuve à l’époque du petit âge glaciaire, une première arche s'effondre en 1603, ensuite trois autres en 1605, enfin toutes quatre sont rebâties vers 1628. En 1633, juste après la réouverture du pont, deux nouvelles arches s'effondrent. En 1669, une nouvelle crue du Rhône emporta plusieurs autres arches pour ne laisser pratiquement que celles qu'on lui connaît de nos jours.